Je vous souhaite à toutes et à tous une bonne et heureuse année 2020, et que chacune et chacun puisse trouver sa place dans des temps à venir troublés et de désordre qui, je le crains, s’annoncent.
Ce message s’adresse particulièrement aux jeunes générations qui devront redoubler d’efforts pour relever des défis qui auraient pu être abordés de façon plus sereines si leurs aînés avaient pris leur responsabilités. Je repense à l’expression d’un ancien président de la république qui est la suivante : »la maison brûle, et nous regardons ailleurs ». Le problème est que, une quinzaine d’années après, même avec des initiatives allant dans le bon sens, les réponses restent marginales. Je crains que, pour enrayer le réchauffement climatique, par exemple, il ne soit déjà trop tard, tout au mieux sera-t’il rectifié à la marge, mais insuffisant pour éviter les modifications de l’écosystème, les catastrophes naturelles, les migrations climatiques, etc… Déjà les tempêtes qui on sévi sur la France en 1999 sont un des nombreux signe de ces bouleversements.
Que ma vision pessimiste ne vous empêche nullement de rester positifs et la pratique artistique représente, pour moi, une des réponses qui permettent d’oublier les tourments de ce monde.
Pour ma part, cette année 2019 aura été l’occasion de faire une nouvelle rencontre (que je souhaitais faire depuis un moment), celle de l’aquarelliste états-uniens Alex Hillkurtz, qui sait si bien saisir l’essentiel en quelques coups de pinceaux. J’ai eu l’occasion au mois de mai d’aller peindre avec lui et un groupe de stagiaires, sur la Place de l’Odéon dans le 6e arrondissement de Paris.
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Autres de mes sorties en 2019, celles organisées par Delphine Priollaud-Stoclet sur Paris, dans les jardins du Palais Royal et dans le 20e arrondissement.
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Tout d’abord en ce début d’année, sauf imprévus, deux de mes travaux vont très certainement être exposés au Grand Palais dans le cadre du salon du dessin et de la peinture à l’eau du 12 au 17 février. Ce sera le sujet d’une prochaine publication.
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Viendra ensuite un rendez vous certain, une semaine en Provence avec le peintre-carnettiste-aquarelliste et maître de stages Alain Marc du 17 au 23 mai avec, notamment, un village incontournable, Ansouis.
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Peut-être aussi pour 2020 une escapade en France sur le Canal du Midi …
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… et à l’étranger au Portugal, à Porto.
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Pour terminer, j’ose espérer une météo printanière plus clémente que celle de 2019 afin de me joindre à quelques sorties en plein air du samedi en Normandie que ne manquera pas de proposer Christian Colin.
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C’est tout, pour le moment !!!
Nicolas globe croqueur.
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En « bonus », une petite vidéo sur le château d’Ansouis…
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… et une autre sur le palais Fronteira à Lisbonne.
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